Vous etes bien belle, et je suis bien laid, A vous la splendeur de rayon baignes A moi la poussiere a moi l'araignee Vous etes bien belle, et je suis
finissent pas de mourir Peut-on jamais savoir par ou commence Et quand finit l'indifference Passe l'automne vienne L'hiver Et que la chanson de Prevert Cette chanson
A dire vrai je suis un fossaire de compagnie, A dire vrai je suis un fossaire de compagnie, Un preneur de large, un joueur de courant d'air, Un repris
finissent pas de mourir Peut-on jamais savoir par o commence Et quand finit l'indiffrence Passe l'automne vienne L'hiver Et que la chanson de Prvert Cette chanson
Oh oh oh qui ne s'est jamais laisse enchainer, Oh oh oh ne saura jamais ce qu'est la liberte, Moi oui je le sais je suis un evade Oh oh oh, faut il pour
Oh oh oh qui ne s'est jamais laiss enchainer, Oh oh oh ne saura jamais ce qu'est la libert, Moi oui je le sais je suis un vad Oh oh oh, faut il pour voir
Tu es faible, tu es fourbe, tu es fou, Tu es froid, tu es faux, tu t'en fous, Evelyne, je t'en pris, Evelyne, dis pas ca, Evelyne, tu m'as aime, ouvre
- Tu es faible tu es fourbe tu es fou Tu es froid tu es faux tu t'en fous - Evelyne je t'en pris Evelyne dis pas ca Evelyne tu m'as aime crois-moi -
de mourir, peut on jamais savoir par ou commence et quand fini l'indifference, passe l'automne vienne l'hiver, et que la chanson de Prevert, cette chanson
Vous etes bien belle et je suis bien laid A vous la splendeur de rayons baignes A moi la poussiere a moi l?araignee Vous etes bien belle et je suis bien
pas de mourir Peut-on jamais savoir par ou commence Et quand finit l'indifference Passe l'automne vienne l'hiver Et que la chanson de Prevert Cette chanson