t'illumines Quand je m'abandonnes Comme un noble elixir Je te bois, je te respire comme de l'air pur, comme un serum Je gravirai chaque mur, je gravirai
Comme j'ai toujours envie d'aimer J'ai toujours envie de toi Oh toi que j'aime Comme j'ai toujours envie de toi Je te cherche ou que tu sois Oh toi
Et si Et si un jour venait Comme si ca se pouvait Doucement plus de vent L'un pour l'autre Et si Nos mains se delacaient Si on se reveillait Lentement
Il n?y aura plus de vagues sur mon corps Dessous les caresses de tes doigts Je n?m?endormirai plus a l?aurore Le matin ou tu t?en iras Le vent viendra
tu vois mourir les sirenes Passer tes annees lumieres Mourir les sirenes Ne cache pas ta peine Quand tu vois mourir les sirenes Passer tes annees lumieres Mourir les sirenes Quand tu vois
Pose ta main sur ma tete Il est temps que je me repose Il est temps que le temps s?arrete Pose ta main sur ma tete Que je vive d?autres choses Pose un
Je ne sais pas encore S?il y a d?autre nord Que ce vieux pole au dernier parallele Si la nuit quand on dors Nous visitent les morts Ou alors un de ses
Toi et moi au pied des grandes tours Si infimes a leurs yeux, leurs discours Qui achete? Qui vend au cours du jour Nos vies et notre amour ? Toi et
Je dormirai Je dormirai la Sous ces drapeaux qui marchent au dernier combat Pres de ta porte Le souffle si bas Que le diable nous emporte Je resterai
me prouves, que rien ne te resiste Mais pour toi j'ai brouille les pistes Comme le dernier apache invulnerable Je laisse des forces a chaque indice
L'ete a passe Une eternite Les flots de l'innocence apaises Elle s'est endormie Moi j'ai un peu grandi Mais pas assez pour que j'oubli Fille d
du matin Ou vont les mondes que je vois Quand les caresses font la loi Tu les reves a travers moi Ensemble doucement C'est la grace qui nous envoie Le bonheur a chaque
Si le pays qui m'attire C'est l'air que je respire Si j'appelle ca chez moi Si je n'ai rien a batir Ni d'eglise a servir Si j'appelle ca chez toi
Au bas d'une photo une rime Un bouquet de lys blanc, tes signes Un petit flash, notre histoire Deux gouttes d'eau dans la riviere Qui se separent bien
J'avais le froid Des poles irreels Aux fleuves-rois Des neiges eternelles J'avais la braise Des citadelles fieres Ou rien n'apaise Le feu des
infidele Car c'est toi qui m'a piege en premier Et chaque feu que j'allume pour toi Se consume un peu en moi Et chaque feu ne brule que mes doigts Car
destins Suffit d'un rien, d'un geste de ses reins Et s'arrete la raison qui nos tiens. Commence alors une autre nuit sans fin Ou son corps de feu se
de moi autant qu'avant? si j'ai passe le temps de l'innocence j'ai garde les yeux grands ouverts sous l'orage je saurais dire au tiens le pur, d'un feu