(Instrumental)
J'ai tout oublie et pourtant je sais. Cache au fond de moi, je sais. J'essaie de vivre chaque jour en portant le masque. J'attends quelqu'un pour me sauver
Toutes ces phrases, souvenirs incessants auxquels je m'accroche, m'imaginant dans ce vieux cafe, bleme, n'osant te parler. L'espoir encore une fois de
La prise d'otages : tous les jours, on pointe les ambiguites de nos freres et de nos s?urs, sans voir qu'ils/elles sont enchaine-e-s. La prise d'otages
" je crois que c'est plus possible , dit-elle, on ferait mieux de s'arreter." et je suis la a cacher mon regard, mais des larmes s'echappent, et mon visage
L'horreur. La vraie. C'est quand on compare sa vie a celle des icones, quand on nous vend du bonheur a consommer. L'horreur. La vraie. C'est celle des
le commencement de cette force c'est toi. toi qui a le pouvoir de te changer pour le meilleur ; c'est la seule solution pour sortir du cycle, car il n
renversons la perspective et deduisons la cause de nos problemes, la cause de tous les maux : une mauvaise repartition de tous les biens. il coule dans
le son de ta voix ne m'a pas atteint cette fois et j'espere que cela durera au moins jusqu'au prochain appel. encore une petite victoire et je ne vais
Mais qui est vraiment superieur ? "Montrez moi les convergences entre moi et ces betes fauves !" Mais elle l'a fait, elle a montre "l'humanite" de ces
ethique contre devises, l'un des deux doit s'effacer ; mais quand le besoin se fait sentir quel choix reste-t-il au/a la scientifique qui oeuvre pour
rien ne nous oblige a manger de la viande, si ce n'est ce reflexe conditionne par une societe carnivore qui nous fait devenir cannibales. si tu es conscient
on blame ceux/celles qui nous derangent. pourquoi jeter la pierre a celles/ceux qui refusent de vivre une vie frustree par la normalite ? car nous sommes
reves allonges, realites defeormees, images floues d'un monde a l'agonie hurlant a la mort, hurlant a la vie. mais si, dans un spasme de vie tu te redresses
et je vois mon espece exploiter les autres sans aucune conscience de la suite. l'homme exploite la nature, l'asseche, l'asservit ; la transforme pour
boire un verre n'est pas terrible en soi, mais note que la dependance s'installe sans prevenir et t'entraine vers le fond ; alors prends garde a ne pas
je n'ai pas choisi de naitre dans le camp de ceux/celles qui t'oppressent, penses-tu que pour autant cela m'empeche de voir tes problemes, de comprendre
plutot que de comprendre nos differences tu prefere jouer l'indifference pourtant cette lueur dans tes yeux, lorsque nous nous croisons, te trahit. cette