croire Et si je m?egare? Seul dans le noir? Et si je m?egare A trouver toutes les excuses a mes espoirs Et si ma voix s?epuise a trop vouloir Habiller
(F.Porterie-Images/E.Wandelmer) Dans le secret de ton regard tranquille Des doigts poses sur une machine docile Ton reve d?enfant Prend vie sous tes
presque rien Trop de ciel dans mes yeux Pour remonter leur trace Inexorablement Leur image s?eteint En silence, la ou le ciel est immense Tout est lisse et
dont elle revait J?y crois plus que tout La vie, la vie, les riches du palais En seront jaloux Et puis, et puis l?homme dont elle revait Je le deviendrai Et
Porterie-Images/Images) Ils croyaient te voir naitre a la vie comme tous les enfants De leur chair comme le plus beau fruit de leur amour naissant Et
(F.Porterie-Images/E.Wandelmer) Ou que tu ailles, d?ou que tu viennes De cours d?ecole en cours de caserne Dans le trafic qui t?entraines Quelque chemin
la bague au doigt Et chacun chez soi Ils disaient, vous vous etes bien battus Mais quand tu avances plus Il faut tourner la page, un mouchoir dessus Et
Staline Et nos guitares en liberte Laissez-nous chanter Le peu d'amour qui nous reste Sous vos ailes d'acier Oh, laissez-nous chanter Laissez-nous rever Et
(R.Seff/M.Ramsamy-J.L Pujade) Elle se leve Elle sort de mon reve Sans faire de bruit Irreelle Dans cette chambre d'hotel Ou rien ne vit Elle ne m'a
dans ta vie tout s?engloutit, se noie Ou part a la derive Si tu chavires loin de la rive, sauve-toi Tant pis pour le navire Faut eviter la galere Et garder
est un enfant au regard sage Comme tous ceux qui ont souffert trop tot La guerre la pris en otage sur les rives du Huang Ho Il a suffit d une seconde Et
coleres du vent A peine un peu plus libres qu'avant Ils parlent a demi-mots A mi-chemin entre la vie et la mort Et dans leurs yeux mi-clos Du soleil,
(V.Guion/E.Wandelmer) Condamne a perpette de quoi ma vie s'ra faite?? Rien qu'un aller retour en metro Pour moi c'est plus la fete Toujours les
descend a toute les gares et soupir dans te bras, doucement je glisse et je realise tes yeux ne se posent jamais sur moi ils sont loin plus loin que la veranda et
Comme un miroir sans secret Je suis seul et je t?attend Fou si on me prend pour un fou Au milieu de vous Meme isole par des murs blancs Et un verrou
(F.Porterie-Images/Images) Chaque jour que Dieu fait C?est le meme parcours a petits pas serres Vers le vieux banc rouille Ou nous attendent toujours
'aie peur de rien C'est la vie qui vient C'est la vie qui va Tu tournes en rond comme dans un manege Le souffle court Et sur le fond tu deposes la neige
tes seins Rio, Rio de Janvier On sent le tabac sur ta peau doree Rio, Rio de Janvier Tes jardins sont des forets Ou les filles viennent danser Et les