Ah ! Les voyages Aux rivages lointains, Aux reves incertains, Que c'est beau, les voyages Qui effacent au loin Nos larmes et nos chagrins, Mon dieu !
Bercee sur leurs genoux, Les ra, les ra, les rapaces, Les ra, les ra, les rapaces. Ils m'inventeraient, pour un peu, Quelle indecence, Les premiers mots, les
que, pales, en robe blanche, on les a couchees dans un lit A tant rever que j'en reve, les revoila, mes insomnies. Je rode comme les chats, je glisse comme les