가사: Les Prêtres. Conversation Avec Dieu.
Dis Dieu? Es tu bien dans ma peau?
As tu assez de place?
Souvent, je ne le nie pas, j'occupe tout l'espace.
Je m'etale confortablement dans ma routine, mes habitudes et meme dans ma mediocrite au point d'en oublier que tu es avec moi, present en moi!
Je dois te confesser que dans ces moments la je ne suis pas tres fier, je prefere t'ignorer, faire comme si je ne te connaissais pas et dire comme Pierre a ton propos, je ne connais pas cet homme!
Oui je te l'avoue, il est des moments ou tu me genes, vraiment, tu me deranges!
Ce que j'apprehende le plus et lorsque je doute de toi, c'est comme si tu etais sourd a mes appels, absent, silencieux!
Je suis tout seul dans ma peau!
Et ce grand vide me donne le vertige.
Je te cherche et je ne te trouve pas.
Je t'appelle et tu ne reponds pas.
Ces heures la sont douloureuses, tu peux le croire.
Et cependant, vois tu, ces moments la, je ne les regrette pas.
Au contraire, une fois passe mon trouble, je suis tellement heureux de te retrouver, je dois constater que tu es toujours present, fidele comme toujours, et que c'est moi qui m'etais eloigne.
Qu'il est bon ce moment ou tu m'accueilles, chez moi.
Et les mots que j'avais prepare pour habiller nos retrouvailles, tu n'en veux pas, mon regard te suffit et moi je cherche le tien.
Il y a aussi les jours ou je voudrais te laisser toute la place, c'est alors que je veux me faire tout petit, pour que chez moi, dans ma peau, vraiment, tu sois chez toi!
Je suis joyeux quand tu n'es pas a l'etroit dans une peau etriquee, mesquine, une peau, une peau de chagrin quoi!
Mon Dieu, je te le demande, apprends moi a m'aimer comme toi seul sait m'aimer.
Je suis bien, tu sais, lorsque nous conversons tout les deux, simplement, familierement, comme de vieux amis, comme deux etres qui s'aiment et partagent le meme toit.
Je ressent si fortement le reconfort que m'apporte ta presence, elle est la, la force de la priere.
Et dire que c'est toi, qui habite avec moi cette vieille peau que j'ai parfois tant de mal a trainer!
Ah si seulement je pouvais, ne serait ce qu'un instant l'oublier, l'accrocher a un clou, tel une vieille guenille!
Mais toi, c'est cette peau la que tu veux habiter, avec moi!
Sais tu que, plus je sens que tu habites en moi, plus je crois devenir un peu toi!
OH! Ne t'inquietes pas pour ma modestie. j'ai dis un peu, juste un peu.
Je sais que c'est toi qui pousse l'humilite jusqu'a choisir d'agir par moi, et dans ces moment la, tu peux le croire, je suis vraiment heureux parce que je sais alors que tu es bien dans ma peau!
(Grazie a nathalie per questo testo)
As tu assez de place?
Souvent, je ne le nie pas, j'occupe tout l'espace.
Je m'etale confortablement dans ma routine, mes habitudes et meme dans ma mediocrite au point d'en oublier que tu es avec moi, present en moi!
Je dois te confesser que dans ces moments la je ne suis pas tres fier, je prefere t'ignorer, faire comme si je ne te connaissais pas et dire comme Pierre a ton propos, je ne connais pas cet homme!
Oui je te l'avoue, il est des moments ou tu me genes, vraiment, tu me deranges!
Ce que j'apprehende le plus et lorsque je doute de toi, c'est comme si tu etais sourd a mes appels, absent, silencieux!
Je suis tout seul dans ma peau!
Et ce grand vide me donne le vertige.
Je te cherche et je ne te trouve pas.
Je t'appelle et tu ne reponds pas.
Ces heures la sont douloureuses, tu peux le croire.
Et cependant, vois tu, ces moments la, je ne les regrette pas.
Au contraire, une fois passe mon trouble, je suis tellement heureux de te retrouver, je dois constater que tu es toujours present, fidele comme toujours, et que c'est moi qui m'etais eloigne.
Qu'il est bon ce moment ou tu m'accueilles, chez moi.
Et les mots que j'avais prepare pour habiller nos retrouvailles, tu n'en veux pas, mon regard te suffit et moi je cherche le tien.
Il y a aussi les jours ou je voudrais te laisser toute la place, c'est alors que je veux me faire tout petit, pour que chez moi, dans ma peau, vraiment, tu sois chez toi!
Je suis joyeux quand tu n'es pas a l'etroit dans une peau etriquee, mesquine, une peau, une peau de chagrin quoi!
Mon Dieu, je te le demande, apprends moi a m'aimer comme toi seul sait m'aimer.
Je suis bien, tu sais, lorsque nous conversons tout les deux, simplement, familierement, comme de vieux amis, comme deux etres qui s'aiment et partagent le meme toit.
Je ressent si fortement le reconfort que m'apporte ta presence, elle est la, la force de la priere.
Et dire que c'est toi, qui habite avec moi cette vieille peau que j'ai parfois tant de mal a trainer!
Ah si seulement je pouvais, ne serait ce qu'un instant l'oublier, l'accrocher a un clou, tel une vieille guenille!
Mais toi, c'est cette peau la que tu veux habiter, avec moi!
Sais tu que, plus je sens que tu habites en moi, plus je crois devenir un peu toi!
OH! Ne t'inquietes pas pour ma modestie. j'ai dis un peu, juste un peu.
Je sais que c'est toi qui pousse l'humilite jusqu'a choisir d'agir par moi, et dans ces moment la, tu peux le croire, je suis vraiment heureux parce que je sais alors que tu es bien dans ma peau!
(Grazie a nathalie per questo testo)
Les Prêtres