가사: Dabbatchaz. Bavure.
Inconscient il se melange a la foule
Treize ans tete d'ange sans cagoule
Il ne demandait rien, voulait etre solidaire
Mais ce qu'il croyait jeu devint guerre
Il prend peur voudrait se sauver
Seule erreur, trop tard pour reculer
Le vent de panique se mele a la violence
Dans cette foule qui s'agite, bourreau et sentence
Trop tard pour eviter le pire
Des deux cotes le diable se met a rire
A qui la faute, si ce soir la violence s'anime ?
A qui la faute, si ce soir intervient le crime ?
La haine prend racine dans la betise
Cette nuit personne ne la freine tout le monde l'attise
Elle file a toute allure, deploie ses ailes
S'empare des ames pour porter le coup mortel
A qui la faute si mon frere meurt ce soir
La faute de la haine, du destin, du hasard
ne bavure policiere a tue mon frere
Lors de violent affrontements, ils assassinerent un enfant
Plus de reflexion, la raison disparait
Les flics passent a l'action, personne n'est epargne
Des deux cotes, qui comptera les torts ?
Des deux cotes, qui comptera les morts ?
La fatalite cette nuit balaye un enfant
Le laissant la, le corps gisant sur le pave glissant
Raisonner, eviter, executer, il faut choisir
Essayer d'eduquer pour eviter le pire
Un policier ce soir prend l'option de la facilite
Frappe au hasard, appelle la mort pour eviter d'essayer
Comprendre, se faire entendre, sans union a la barbarie
Mais les efforts des deux cotes sont reduits
Une bavure policiere a tue mon frere
Lors de violent affrontements, ils assassinerent un enfant
Une bavure policiere a tue mon frere
Lors de violent affrontements, ils assassinerent un enfant
L'homme est soi-disant un animal raisonnable
Mais ou intervient la raison quand on tue pour faire le mal
Ces abstraites philosophies devraient etre revisees
Remise des pendules a l'heure de l'actualite
Ce soir un policier a tue mon frere
Ne voulant l'ecouter, preferant le faire taire
Que justice soit faite
Pas de pitie pour l'auteur de ce crime
Mais lui oter la vie a quoi ca rime ?
Le trouer ramenerait-il mon frere ?
Effacerait-il la tristesse de ma mere ?
Je ne pense pas mais difficile de s'controler
Lorsque bascule ta vie, lorsqu'elle est dechiree
L'esprit de vengeance se nourrit d'images
Qui defilent dans ta tete et te mettent la rage
En tuant mon frere ils tuerent ma moitie
En tirant dans sa chair, ils m'en ont separe
Pourtant la vie continue, tant bien que mal
Le temps panse les blessures et le moral
Mais le jugement renforce ma conviction
Afflige devant cette si legere sanction
Sept ans de prison racheteraient-ils la vie d'un enfant ?
Drole de lecon pour un gosse de treize ans
Une bavure policiere a tue mon frere
Lors de violent affrontements, ils assassinerent un enfant
Une bavure policiere a tue mon frere
Lors de violent affrontements, ils assassinerent un enfant
Treize ans tete d'ange sans cagoule
Il ne demandait rien, voulait etre solidaire
Mais ce qu'il croyait jeu devint guerre
Il prend peur voudrait se sauver
Seule erreur, trop tard pour reculer
Le vent de panique se mele a la violence
Dans cette foule qui s'agite, bourreau et sentence
Trop tard pour eviter le pire
Des deux cotes le diable se met a rire
A qui la faute, si ce soir la violence s'anime ?
A qui la faute, si ce soir intervient le crime ?
La haine prend racine dans la betise
Cette nuit personne ne la freine tout le monde l'attise
Elle file a toute allure, deploie ses ailes
S'empare des ames pour porter le coup mortel
A qui la faute si mon frere meurt ce soir
La faute de la haine, du destin, du hasard
ne bavure policiere a tue mon frere
Lors de violent affrontements, ils assassinerent un enfant
Plus de reflexion, la raison disparait
Les flics passent a l'action, personne n'est epargne
Des deux cotes, qui comptera les torts ?
Des deux cotes, qui comptera les morts ?
La fatalite cette nuit balaye un enfant
Le laissant la, le corps gisant sur le pave glissant
Raisonner, eviter, executer, il faut choisir
Essayer d'eduquer pour eviter le pire
Un policier ce soir prend l'option de la facilite
Frappe au hasard, appelle la mort pour eviter d'essayer
Comprendre, se faire entendre, sans union a la barbarie
Mais les efforts des deux cotes sont reduits
Une bavure policiere a tue mon frere
Lors de violent affrontements, ils assassinerent un enfant
Une bavure policiere a tue mon frere
Lors de violent affrontements, ils assassinerent un enfant
L'homme est soi-disant un animal raisonnable
Mais ou intervient la raison quand on tue pour faire le mal
Ces abstraites philosophies devraient etre revisees
Remise des pendules a l'heure de l'actualite
Ce soir un policier a tue mon frere
Ne voulant l'ecouter, preferant le faire taire
Que justice soit faite
Pas de pitie pour l'auteur de ce crime
Mais lui oter la vie a quoi ca rime ?
Le trouer ramenerait-il mon frere ?
Effacerait-il la tristesse de ma mere ?
Je ne pense pas mais difficile de s'controler
Lorsque bascule ta vie, lorsqu'elle est dechiree
L'esprit de vengeance se nourrit d'images
Qui defilent dans ta tete et te mettent la rage
En tuant mon frere ils tuerent ma moitie
En tirant dans sa chair, ils m'en ont separe
Pourtant la vie continue, tant bien que mal
Le temps panse les blessures et le moral
Mais le jugement renforce ma conviction
Afflige devant cette si legere sanction
Sept ans de prison racheteraient-ils la vie d'un enfant ?
Drole de lecon pour un gosse de treize ans
Une bavure policiere a tue mon frere
Lors de violent affrontements, ils assassinerent un enfant
Une bavure policiere a tue mon frere
Lors de violent affrontements, ils assassinerent un enfant